La chance sourit aux audacieuses
Éditions de Borée - 2025
Dessinatrice douée, Virginie a des rêves plein la tête et refuse de se laisser enfermer dans le mariage auquel son père la destine. Attirée par l’effervescence et le prestige de la capitale, elle parvient à s’y rendre à l’insu de sa famille, bien décidée à mettre ses talents au service de ceux, artistes comme artisans, qui lui donneront sa chance. En ces années de foisonnement artistique intense, entre Art nouveau et Art déco, une autre vie, ponctuée d’embûches et de rencontres, commence alors pour Virginie.

Tout commence à Volvic, en Auvergne :


Fille d’un exploitant de carrières de pierre de Volvic, Virginie part tenter sa chance dans le Paris des années 1900.


La place des Vosges
Suivez les pas de Virginie dans la capitale :
Trouvez les monuments édifiés en pierre de Volvic...

Le tombeau d'Eugène Delacroix au cimetière du Père-Lachaise

... Découvrez la pierre de Volvic employée dans des œuvres artistiques :



Les laves émaillées de l'église Saint-Vincent-de-Paul dans le 10e arrondissement


Enseignes et décors du métro parisien en lave émaillée

Les laves émaillées de la Samaritaine



Dans le milieu des artistes et des artisans, entre Art Nouveau et Art déco, suivez Virginie sur les chemins de son destin !
Les premiers retours :
La chance sourit aux audacieuses est un roman captivant, avec une héroïne touchante et déterminée. Il célèbre le courage des femmes face aux injonctions sociales. Je l’ai énormément aimé.
Fresque historique réussie et roman intimiste touchant, ce livre réjouira tous les amoureux de Paris, de ses monuments, de ses grands magasins, d'un certain art de vivre. Ainsi, avec toujours un immense talent de conteuse qui ne cesse de s'affirmer d'année en année, Véronique Chauvy nous permet de côtoyer tous ceux, Van de Velde, Tiffany, Émile Gallé, René Lalique, Hector Guimard, Frantz Jourdain... ayant atteint une immense notoriété grâce à leurs œuvres inoubliables créées pendant près de 30 ans.
Encore un personnage féminin fort qui tente de s’affranchir d’un monde patriarcal et, encore une fois, c’est une réussite. Car derrière les couleurs, les pinceaux et la beauté des œuvres créées, il y a aussi cette réalité brutale : la signature de Virginie est effacée, son talent invisibilisé. Et ça fait mal. Vraiment.
Céline Saint-Charle, sur Phenix-Web
L’autrice évoque avec beaucoup de justesse la maternité, et surtout la difficulté, à cette époque, pour une femme de trouver sa place non seulement comme mère, mais aussi comme femme, au-delà de son rôle imposé.